toujours en direct de Montréal, c'est maintenant l'heure du bilan. Que dire ? Comme annoncé dans mon premier post d'ici, le niveau scientifique a été excellent. De la bouche même de Robert Vallerand, le meilleur depuis que ce congrès existe autrement dit depuis 2009 à Philadelphie.
Tout d'abord, quelques chiffres : 1300 participants, 55 pays représentés. Pour information à Angers l'an passé il y a eu un peu plus de 800 participants pour 65 pays représentés. Un petit cocorico quand à la représentation internationale... :-) Mais il y a eu un nombre record de conférenciers invités avec des nouveaux formats dans un congrès : des communications type TedTalk et des tables rondes.
Passation de pouvoir entre Barbara Fredrickson et Lea Waters |
Ces nouveautés ont été très appréciées. Le spectre des thématiques a également été très large, comme à Angers l'an dernier d'ailleurs. La psychologie positive, ce n'est assurément pas que de la psychologie ni que positif. De nombreuses communications de très haut niveau en particulier sur les émotions ont été appréciées ainsi que sur la qualité de vie. Les tarifs ont également été appréciés, permettant l'accessibilité au plus grand nombre notamment les étudiants, et ce sera un véritable défi pour le prochain organisateur, Lea Waters...
Avec Judith Moskowitz à gauche, présidente élue qui prendra ses fonctions après Melbourne et Lea Waters |
Le 6ème congrès de l'IPPA aura lieu à Melbourne. Les frais de transports s'annoncent d'ores et déjà très élevés. Ce qui a été apprécié ici ce sont également les aspects logistiques. Les collègues québécois nous ont effectivement accueillis dans les meilleures conditions et Montréal s'est révélée être une ville très accueillant avec les participants au congrès et particulièrement avec les français ! La santé financière a permis d'attribuer de nombreux prix aux étudiants ou chercheurs qui se sont fait remarquer. Bref, cette édition présidée par Barbara Fredrickson a été excellente, ne peut que vous encourager à adhérer à l'IPPA et à venir au prochain congrès ! La tâche sera forcément ardue pour Lea Waters. Avoir un tel niveau à tous les points de vue sera compliqué. Prendre la suite de Robert Vallerand ou Barbara Fredrickson à la présidence de l'IPPA n'est pas une mince affaire quand on connait leur rayonnement international. Qui connait Lea Waters en France par exemple ? En tant que membre du board, elle peut bien évidemment compter sur mon soutien et sur celui de ses autres membres. La communication sera déterminante... alors venez régulièrement visiter mon blog pour avoir les informations ! D'ici mon prochain post, je vous souhaite un excellent mois de juillet et de bonnes lectures !
Que de bons souvenirs !
RépondreSupprimerMerci pour ce beau moment,
Marine